C’était dans l’air depuis un moment ! C’est officiel depuis quelques heures ! Le mandat du CONOR est prolongé à nouveau sur une période de dix (10) mois.
Cette équipe installée depuis novembre 2021, suite à la crise que connaît notre football depuis quelques mois, aura la lourde tâche de conduire la destinée de notre football jusqu’au 30 avril 2023. Le bureau du conseil de la FIFA a jugé bon de laisser poursuivre le groupe de Mariam Sy Diallo à la tête de la Feguifoot pour dix mois encore.
« Le Bureau a également pris note que l’administration de la FIFA et le comité de normalisation ont convenu que des élections au sein des membres et des affiliés de la FGF (à savoir les ligues et les districts) devraient avoir lieu avant l’élection du nouveau comité exécutif de la FGF. Ainsi, deux congrès distincts devront être convoqués avant que le comité de normalisation ne puisse à son tour convoquer le congrès électif de la FGF.
Le premier congrès permettrait d’approuver les nouveaux statuts et le code électoral de la FGF, tandis que le second prévoirait la nomination des membres de la commission électorale, de la commission de recours électorale et des organes juridictionnels. Une fois que ces deux congrès auront eu lieu, des élections seront organisées au niveau des membres et des affiliés de la FGF. Ces élections seront également supervisées par la commission électorale de la FGF afin de garantir leur transparence et leur équité. Au vu de ce qui précède, et compte tenu du fait que le délai initialement accordé au comité de normalisation pour mener à bien son mandat et les tâches susmentionnées (c’est-à-dire au plus tard le 30 juin 2022) n’est désormais plus tenable, le Bureau a décidé le 29 juin 2022 de prolonger le mandat du comité de normalisation de la FGF jusqu’au 30 avril 2023 au plus tard. « à préciser le courrier de la FIFA.
Reste à savoir quelle sera la réaction des membres statuaire de la fédération guinéenne de football après cette décision. Ces responsables statuaire pensaient de saisir la FIFA pour anticipation l’organisation des élections en septembre. Si non au cas contraire , menaçaient de boycotté la reprise du championnat national.
La rédaction