Depuis le putsch du 05 septembre 2021, après la prise du pouvoir par les militaires, la police est très active pour traquer les militants activiste ces derniers temps, dont plusieurs d’entre eux étaient contraint de s’exiler dans d’autres pays.
Pour avoir pris position contre le pour le pouvoir militaire, plusieurs activiste et militants du régime déchu font l’objet d’une énième arrestation et de menace alimentée en haut lieu. De nombreux cas d’arrestations arbitraires de jeunes militants du RPG, tels que Touramany Bolokada, Lancinè Kaba, Djenè Diaby, Kaba Alhassane, Amara Douako, et plusieurs autres qui se sont fait prendre par les forces de défense et de sécurité au cours des manifestations à Conakry, qui avait pour vocation avec des pancartes en main ont scandé le « retour à l’ordre constutionel et la démocratie, mais aussi souligne le retour d’Alpha Condé, destitué par les militaires en septembre 2021.
Ces derniers manifestant leaders recherché par la police pousser vers l’exil racontent les raison qui l’ont poussé à quitter son pays « pour réclamer la restitution d’Alpha Condé au pouvoir, plusieurs parmi nous se sont fait arrêté, tabassé par les agents de police et avant d’être escorter au commissariat. Nous avons été détenu pendant 15 jours avant qu’on ne bénéficie de la liberté conditionnelle ». Ont-ils témoigné.
Devenu la cible des autorités guinéennes de la Transition Militaire, beaucoup d’entres se sont senti menacé ont pris la fuite vers l’exil pour leurs sécurité.
A rappeler que jusqu’à date, les Autorités de la Transition Militaire laisse clairement entrevoir une volonté de se maintenir au pouvoir pendant une durée indéterminée. Une situation qui inquiète plusieurs guinéens de voir le CNRD rester plusieurs années supplémentaires aux commandes de ce pays plongé depuis des années dans une grave crise sécuritaire et politique.
La rédaction